Si l’on espère que l’alopécie féminine ne soit plus un tabou, c’est dès le plus jeune âge qu’il faut tenter de sensibiliser la société.
Expliquer à notre jeunesse que oui, on peut perdre des cheveux au cours de sa vie, permettra aux nouvelles générations d’inclure cette notion dans leur éducation.
Leurs regards, leurs idéaux, leurs habitudes aussi, sont un réel atout pour populariser la perte des cheveux chez la femme. Normaliser cet aspect permettra aux futures générations de ne plus se sentir exclues des normes sociétales. Leur enseigner que les corps sont tous différents et tous beaux à leur manière. Que l’on soit mince ou en surpoids, blanc ou noir, blond ou roux, avec ou sans cheveux, la pluralité est bel et bien la richesse de l’être humain.
Il est là, le vrai combat, d’ailleurs:
Briser les normes imposées pour permettre à chaque individu de pouvoir exister dans sa globalité et par (ou malgré ?) sa différence.